Qui sommes nous ? | Cabinet EDE International

Historique du Cabinet EDE

Fondé en 2001 le cabinet EDE est une société, d’ingénierie, conseils, installée à Dakar, au Sénégal. Les mandats confiés à EDE sont généralement exécutés par une équipe pluridisciplinaire, apportant aux clients une assistance tant sur le plan technique que sur le plan social, environnemental, socio-économique et juridique.

Le Cabinet EDE, propose des choix techniques et mesures d’accompagnement capables d’assurer la viabilité et la pérennité des investissements conformément aux normes environnementales en vigueur. L’objectif du Cabinet est de contribuer au développement du secteur de l’assainissement et de l’eau en proposant un cadre institutionnel favorable :

à l’implication des usagers, sur la place primordiale qu’occupent ces services de base.
à l’implication du secteur privé.
à la régulation du marché.

Aujourd’hui le cabinet dispose de filiales au Burkina Faso, au Niger et en Côte d’Ivoire.

Notre organigramme

Mot du directeur

Dr. Ing. Cheikh Sidia TOURE,
Expert Assainissement et Environnement

“La salubrité de l’environnement, appelée par les ingénieurs du secteur « hygiène de l’environnement », est constituée par tous les éléments de l’environnement qui permettent un cadre de vie sain et un développement humain harmonieux. Le cabinet EDE n’a pas la prétention de cerner tous les enjeux de ce secteur du Génie sanitaire. Il tente de promouvoir les ressources humaines les plus compétentes et d’appuyer les gouvernements Africains à la définition et à la mise ...“

La salubrité de l’environnement, appelée par les ingénieurs du secteur « hygiène de l’environnement », est constituée par tous les éléments de l’environnement qui permettent un cadre de vie sain et un développement humain harmonieux. Ses composantes de base sont: Le cabinet EDE n’a pas la prétention de cerner tous les enjeux de ce secteur du Génie sanitaire. Il tente de promouvoir les ressources humaines les plus compétentes et d’appuyer les gouvernements Africains à la définition et à la mise en œuvre des politiques sectorielles adaptées aux communautés dans le respect d’un véritable développement durable. Le cabinet s’est spécialisé au cours de ces 15 dernières années en s’attaquant progressivement aux domaines suivants:

L’évacuation des eaux usées et des boues de vidange: le rapport progrès en matière d’assainissement et d’eau potable, rapport de suivi 2015 et évaluation des OMD « Progress on Sanitation and Drinking Water : 2015 Update and MDG Assessment », indique qu’une personne sur trois dans le monde, soit 2,4 milliards de personnes n’ont pas accès à un système d’assainissement amélioré et 1 milliard de personnes pratiquent la défécation en plein air. Le manque d’assainissement accroît le risque de maladie et de malnutrition, particulièrement pour les femmes et les enfants. L’assainissement est un élément « essentiel pour la santé et la salubrité de l’environnement » mais aussi, pour chaque être humain, « un facteur de développement et de dignité ». Durant les années 2000-2010, le cabinet a apporté une démarche basée sur un processus d’apprentissage structuré, partant des concepts vers des projets d’assainissement développés par les Etats pour en tirer les leçons et les bonnes pratiques à travers la dissémination à grande échelle. La stratégie et les principes de base développés sont axés sur un minimum d’assainissement: « une barrière soit érigée contre la propagation des maladies véhiculées par les matières fécales » pour tout être humain. Les approches « offre-demande » du marché de l’assainissement ont également influencé le secteur. Les Etats et les partenaires financiers ont évolué vers une logique marchande qui n’est pas toujours pertinente pour les plus démunies des zones urbaines et rurales. De nouveaux modèles de financement du secteur commencent à voir le jour avec le concept du Partenariat Public Privé (PPP).
La gestion des eaux pluviales: durant les années 2010-2016, le cabinet EDE a abordé le volet de la de gestion des eaux pluviales non pas essentiellement comme un objet technique mais au contraire comme un ensemble d’actions demandant à être réintégrées dans la manière de faire et de penser la ville, donc dans une perspective d’aménagement urbain, d’une part, et de mettre l’accent sur les processus organisationnels, financiers et institutionnels qui l’entourent au travers d’une approche pluridisciplinaire, sans pour autant oublier l’essentielle technicité des processus, d’autre part. L’exécution du Programme de Gestion des Eaux Pluviales (PROGEP) avec l’Agence de Développement Municipal (ADM) au Sénégal en constitue un modèle type.
La gestion des déchets solides: la gestion des déchets solides regroupe la collecte, le transport, la valorisation et l’élimination des déchets et, plus largement, toute activité participant de l’organisation de la prise en charge des déchets depuis leur production jusqu’à leur traitement final. Si les maillons de la collecte, du transport et du recyclage semblent familiers et trouvent des solutions adaptées en Afrique, les décharges constituent encore des équations à plusieurs variables inconnues et constituent l’une des problématiques majeures pour les pouvoirs nationaux et les élus locaux en Afrique. Le Cabinet se positionne vers la gestion et la caractérisation de ce maillon le plus délaissé dans cette gestion globale, « le non contrôle des décharges » qui deviennent juste des exutoires de concentration maximale de pollution de toute sorte.

Les stratégies, principes et objectifs du cabinet sont: La réflexion du cabinet EDE est la détermination de méthodes et approches pour la connaissance de ces gisements. Les filières de valorisation adaptées et prouvées existent pour l’Afrique. Les contraintes politiques, économiques et sociales relevées ne sont pas insurmontables dans les conditions et situations actuelles des villes africaines. Le principe du pollueur payeur n’est pas raisonnablement applicable dans la plupart des plateformes industrielles souvent situées dans les zones urbaines en Afrique. Ces unités industrielles sont souvent agglomérées dans un tissu urbain dont la planification n’est maîtrisée ni par les Etats ni par les élus locaux. Le cabinet se positionne dans l’appui aux Etats pour la définition de politiques, stratégies et objectifs pour la gestion rationnelle des pollutions engendrées par les unités industrielles. Dans certains pays qui ont déjà acquis cet outil, les caractérisations qualitatives et quantitatives de la pollution ont permis de mettre en place une ébauche de taxe de pollution qui doit normalement être accompagnée d’instruments de mesure appropriés, acceptés par tous les acteurs. L’appui du cabinet aux Etats se dessine dans ce dernier chapitre. Dans le Programme 2030 des ODD, l’Afrique est invitée à redoubler d’efforts pour améliorer l’assainissement dans tous les domaines de l’hygiène de l’environnement. La responsabilité régalienne des Etats consistera à :